Décidément les détracteurs de Younes Mjahed, -un valeureux journaliste qui n’a plus besoin d’être présenté puisque ceux à la mémoire vivace reconnaissent son parcours de combattant dans le secteur de la presse-, sont en train d’émerger tels des marmottes, des ratons laveurs, des moufettes ou encore des taupes, bref tels des animaux qui peuvent paraitre mignons sur les bords, mais qui causent des désagréments à n’importe quelle pelouse. Quoi qu’il en soit, la vérité éclatera bientôt et tandis que Mjahed, adulé par plusieurs et envié par d’autres, gardera sa stature, les nuisibles, ceux qui cherchent leur heure de gloire et à être sous les feux des projecteurs, retourneront sous terre après avoir rasé les murs.
En attendant voici le communiqué intégral du journaliste Younes Mjahed qui manie le verbe et la plume en toute aisance, Président de la « Commission provisoire de la presse et de l’édition » et président de la Fédération Internationale des Journalistes de 2019 à 2022.
Réponse aux accusations infondées et aux calomnies de Soulaimane Raissouni contre ma mère et moi
« Aujourd’hui, j’ai pris connaissance d’une publication de Soulaimane Raissouni sur Facebook, dans laquelle il prétend que ma mère a dit à feu Abdelaziz Nouidi, après mon divorce de ma première femme : « Pourquoi lui a-t-elle pris la villa ? Driss Basri l’a donnée à mon fils. »
Il prétend aussi que le défunt Abdelaziz Nouidi le lui a dit en présence de deux avocats, en l’occurrence l’ancien bâtonnier de Rabat, Abderrahim Jamaï ainsi que maître Mohamed Messaoudi. En réponse à ce tissu de mensonges et de calomnies, je tiens à préciser que ma mère, qui est décédée en 2008, était une femme au foyer vivant à Tétouan. Elle n’avait pas comment faire connaissance avec un certain Abdelaziz Nouidi. Et puisqu’elle n’avait aucunement le moyen d’entendre parler de lui non plus, il est donc impossible qu’elle l’ait jamais rencontré et encore moins discuté avec lui de questions familiales.
Je suis catégorique, cette histoire n’a jamais eu lieu. Il s’agit d’une divagation qui a été fomentée par Raissouni et qui est destinée à m’offenser, en impliquant ma mère et ma famille dans une histoire cousue de fil blanc.
Pour prouver que ces accusations sont purement diffamatoires, je mets à la disposition des deux avocats mentionnés par Raissouni, des copies de documents qui attestent que la villa en question a été achetée grâce à un prêt bancaire. Ces documents peuvent être consultés par ces avocats que je vais m’empresser de contacter.
Je mets également ces copies de documents de l’emprunt bancaire à la disposition de l’Organisation marocaine des droits de l’Homme, à laquelle j’ai eu l’honneur d’appartenir. De plus, je propose à Raissouni de choisir n’importe quelle organisation de défense des droits de l’Homme qu’il juge fiable pour examiner ces documents.
Je suis au courant que selon le principe juridique, la charge de la preuve incombe à celui qui accuse, et non à l’accusé. Mais puisque ces élucubrations présentées par Raissouni concernent ma défunte mère et le défunt Abdelaziz Nouidi, je suis prêt à fournir des preuves et des justificatifs pour prouver que ces accusations sont purement diffamatoires et visent, in fine, à nuire à ma réputation et à celle de ma famille.
Et pour restituer la vérité et dévoiler au grand jour cette supercherie qui dépasse l’entendement, je vais poursuivre Raissouni en justice pour demander réparation pour les préjudices subis à mon encontre et à l’encontre de ma famille ».